GRANDANGLE CGE N°119

N°119

octobre 2020

Prochain numéro

GrandAngle N°120 – novembre 2020 aura pour thème
LES GRANDES ÉCOLES AGILES ET INNOVANTES : RETOUR SUR UNE RENTRÉE 2020 PAS COMME LES AUTRES !

Participez au numéro de décembre

GrandAngle N°121 – décembre 2020 (bouclé le 20 novembre) aura pour thème
UNE DYNAMIQUE TOUJOURS PLUS INCLUSIVE DANS LES GRANDES ÉCOLES 

Vous pouvez, dès à présent, vous positionner par mail si vous souhaitez nous adresser un article pour cette parution.

 

LES GRANDES ÉCOLES FACE AUX ENJEUX DE LA LPPR 

La LPPR : risques et opportunités

Il s’agit de souligner les éléments positifs de cette loi qui va apporter un soutien financier et de long terme à la recherche française. La CGE se réjouit que l’investissement nécessaire dans la recherche reste toujours parmi les priorités gouvernementales.

Classements internationaux : Grandes écoles, lancez-vous !

On entend souvent dire que les Grandes écoles d’ingénieurs ne sont pas visibles à l’international. Et penser que les classements internationaux ne sont pas pour elles, que seuls les regroupements universitaires, permettant d’atteindre la taille critique requise, donnent la possibilité d’y faire bonne figure.

Anne Beauval, présidente de la commission Recherche et Transferts et directrice déléguée d’IMT Atlantique

Lire l’article : La LPPR : risques et opportunités
Lire l’article : Classements internationaux : Grandes écoles, lancez-vous !

La recherche dans les écoles privées EESPIG : qu’attendre de la LPPR ?

La LPPR a créé une forte attente dans la communauté scientifique. En effet, la LPPR projette une progression très significative des dépenses de l’État pour la recherche publique au cours des dix prochaines années. Au-delà de la dimension financière, le projet de loi comporte de nombreux ajustements afin de faciliter les interactions entre la recherche publique et la recherche privée.

Andreas Kaiser, directeur de la Recherche de Junia

Lire l’article

Contribution du groupe de travail « les Sciences humaines et sociales dans les Grandes écoles » à la LPPR

La CGE est membre de l’Alliance Athéna. Fondée en 2010, par convention entre eux, l’Alliance Athéna a pour mission « d’organiser le dialogue entre les acteurs majeurs de la recherche en SHS sur des questions stratégiques pour leur développement et leurs relations avec les autres grands domaines scientifiques ». La commission « Recherche et Transferts » de la CGE a participé, depuis 2019, à la rédaction de propositions sur les Sciences humaines et sociales, dans le cadre de la LPPR.

Maria Bonnafous-Boucher et Eric Godelier, animateurs du GT SHS 

Lire l’article
Lire l’article

Chercher, innover mais selon quelles pratiques et pour quelles finalités ?

Voilà la question qui monte, qui monte au sein de la communauté de la recherche et de l’innovation. Le malaise face aux perturbations écologiques traverse la société et les étudiants ont décidé de se mobiliser en proposant un Manifeste pour un réveil écologique. Le microcosme de la recherche n’est pas en reste, un collectif de 1 500 chercheurs s’est lui aussi créé : le Labo1point5, et même si leur mobilisation a été moins remarquée que celle des étudiants , il interroge avec force et pertinence les pratiques quotidiennes des métiers de la recherche.

Groupe de travail sur la recherche et l’innovation responsable

 

Nominations et créations

Joël Cuny, directeur de l’ESTP Paris

Delphine Riu, directrice de l’Ense3

Hervé Debar, directeur par intérim de Télécom SudParis

Anil Benard-Dendé, directeur général adjoint de KEDGE

Claire Lecocq, directrice déléguée de l’EPITA Paris

Patrice Geoffron, administrateur provisoire de Dauphine-PSL

Pr El Hadji Bamba Diaw, directeur général de l’2iE

Jean-Baptiste Lesort, administrateur provisoire de l’ENTPE

Frédérique Pain, directrice de l’ENSCI Les Ateliers

Christine Lennoz-Gratin, directrice générale par intérim d’Agreenium

Benoît Baudonnière, directeur général de l’École navale

Pascal Charpentier, président de l’APLCPGE par intérim

Antoine Sadoux, secrétaire général d’IMT Atlantique

Franck Jimenez, directeur d’Icam Lille

Isabelle Dalle, directrice du campus du Havre de l’EM Normandie

Claire Rossi, administratrice provisoire de l’UTC

emlyon business school : lancement de l’Institut de l’Intrapreneuriat

Fusion de UniLaSalle et l’ESIEE-Amiens

TBS : création d’une direction de la transition sociétale 

L’Institut Polytechnique de Paris (IP Paris) et HEC Paris :  création de Hi! PARIS

Yncréa Hauts-de-France devient Junia

Lire les autres nominations et en savoir plus

L’agenda de la Conférence des grandes écoles

8 octobre :

  • Rencontres du GT Relations Internationales
  • GT stages
  • GT apprentissage

13 octobre : GT Relations Entreprises

15 octobre

  • GT Classements
  • Commission Recherche et Transferts

16 octobre : GT Doyens

20 octobre : Conseil des territoires

20 octobre : Bureau

21 octobre : Conseil du Chapitre

23 octobre : GT formation continue

Contacter la Conférence des grandes écoles

11, rue Carrier-Belleuse, 75015 Paris

+33 (0)1 46 34 08 42

[communication@]communication@cge.asso.fr

Kiosque

À l’origine des écoles de commerce – ESCP Business School, la passion d’entreprendre»

Les Etats-Unis se voient généralement attribuer la paternité des écoles de commerce. Il est vrai que les plus prestigieuses y ont été ouvertes : Harvard ou la Wharton Business School. Toutefois, les écoles de commerce ne sont pas nées aux Etats-Unis, ni même au XIXe siècle. C’est en Europe, un siècle plus tôt, qu’elles émergent avant de se diffuser. Si l’Europe héberge les plus anciennes, c’est en France qu’est implantée leur doyenne : ESCP Business School. Fondée en 1819 par deux négociants, Germain Legret et Amédée Brodart, l’école a rapidement bénéficié d’une honorable réputation internationale. Acquise en 1869 par la Chambre de commerce de Paris, elle forme des générations de cadres d’entreprise, managers, leaders et entrepreneurs. Devenue multisite en 1999 (de Madrid et Londres à Varsovie), elle s’inscrit aujourd’hui en tête des écoles de commerce dans le monde.

Inventer son futur professionnel

Surmonter les crises et se projeter dans l’avenir : deux difficultés majeures que les actifs devront gérer pour préparer leur futur professionnel ! En effet, avec plus de 30 millions d’actifs en 2030, une situation économique, sanitaire et sociale in certaine, des emplois différents et la digitalisation des activités, le monde du travail sera encore moins lisible qu’aujourd’hui. Le diplôme, les compétences, l’aptitude à se projeter, la volonté de se démarquer des autres postulants feront la différence. Et la capacité à s’investir successivement dans des métiers très différents les uns des autres avec ou sans employeur sera essentielle.Dans ce livre, l’auteur identifie les démarches qui permettent d’optimiser les parcours de carrières. Il présente les méthodes pour acquérir des qualités de résilience et d’agilité et explique comment se mettre en mouvement, passer d’une posture d’attente (voire défensive) à une posture proactive. Pour parvenir à se démarquer et réussir sa vie personnelle et professionnelle !

11, rue Carrier-Belleuse 75015 Paris